L'adiposculpture est une technique médicale de réduction des volumes graisseux localisés, nouvelle alternative à la liposuccion.
En 2011 :
L'ADS est la seule technique qui vous permettra d'éviter la liposuccion sous anesthésie générale. Simple, logique, d'une totale innocuité (sans aspiration ni injection de produits lysants), elle va réduire en moyenne de 30% la zone traitée !
Les suites sont simples, sans douleurs, sans risque d'irrégularités de la peau (tôle ondulée) que l'on peut parfois observer après une liposuccion.
Les résultats sont probants et stables, approchant ceux d'une liposuccion mais « sans chirurgie », et sont visibles en 2 à 3 semaines.
L'adiposculpture ne nécessite qu'une seule séance. Dans de rares cas une seconde séance peut être nécessaire, elle se fera à un intervalle minimum de 3 semaines.
Prix : 900¤ par zone
Les problèmes de silhouette et surcharges graisseuses sont une préoccupation ancienne.
En 1979 : on fait les premières tentatives de traitement pour éliminer la cellulite. Les FISCHER père et fils ont l'idée de broyer la graisse sur place et de l'aspirer en introduisant une canule.
En 1985 : le Docteur ILLOUZ reprend les travaux de FISCHER père et fils et met au point la liposuccion, technique qui va véritablement révolutionner la chirurgie esthétique.
La liposuccion est une technique très pratiquée mais pas anodine : elle présente les risques liés à toute intervention chirurgicale, elle a des résultats mitigés sur l'aspect cutané.
Les inconvénients ont donc amené les praticiens à rechercher une technique donnant de meilleurs résultats (surtout à un niveau cutané) avec le minimum de préjudices ;
En 1999 : un médecin, met au point une nouvelle méthode de traitement radical des surcharges graisseuses localisées : L'adiposculpture.
Aujourd'hui, la technique est pratiquée largement, en toute sécurité et dans des conditions précises. C'est un acte médical qui doit impérativement se pratiquer dans le cadre d'un centre médical sécurisé.
Lipodystrophies localisées.
Un interrogatoire précis et un examen clinique sont nécessaires, et permettent d'établir un protocole personnalisé, adapté à chaque cas.
Grossesse, allaitement. Troubles veineux ou de la coagulation.
Précautions particulières pour les personnes présentant une hypercholestérolémie ; au besoin faire pratiquer un dosage lipidique sanguin.
Avant de commencer le traitement, on conseille de faire un régime pauvre en lipides 8 jours avant l'acte.
Il faut être vigilant avec les personnes présentant un un syndrome métabolique (tour de taille supérieur à 85 cm pour la femme, supérieur à 95 cm pour l'homme).
La compétence du praticien et les précautions prise éliminent la survenue de complications.
Dans le protocole de base, il y a 4 phases que le médecin peut associer selon le cas à traiter.
La cryofixation consiste en un refroidissement progressif des zones traitées. Le froid a un double effet : un effet anesthésiant et une vasoconstriction artérielle qui évite le saignement ;
Elle se fait avec de la xylocaine adrénalinée en petites quantités et diluée à 50% avec du sérum physiologique isotonique.
Dans le cas d'une liposuccion chirurgicale, et ce depuis plus de 20 ans, une infiltration de liquide hyposmolaire est pratiquée en début d'intervention, infiltration recommandée » par le Docteur ILLOUZ, inventeur de la technique.
Depuis le 11 avril 2011, ce liquide hyspomolaire est interdit par la plus haute autorité de santé, car il engendrerait des nécroses et des gangrènes cutanéo graisseuses.
En clair, la liposuccion, en plus des risques inhérents à toute chirurgie et du risque d'irrégularités cutanées, exposerait à des risques graves de nécroses.
- Le traçage de la zone à traiter se fait en éventail, par des travées entrecroisées.
- Cet acte est pratiqué par une canule spéciale « la sculpt-face », microcanule à bout mousse.
- Les cellules graisseuses (adipocytes) sont déconnectées au cours des mouvements de va et vient. Détachées de leurs attaches et de leur vascularisation elles se désagrègent et sont éliminées par l'organisme par un cycle naturel d'épuration (véritable effet de « digestion » par les phagocytes).
- Le mécanisme s'apparente à la « fonte secondaire » observée dans les suites d'une liposuccion ou lors réinjection de graisse (lipofilling). Les cellules graisseuses lysées et laissées sur place s'éliminent progressivement par un processus naturel ;
- Se basant sur ce processus, l'adiposculpture, permet d'éliminer des amas graisseux par une méthode douce « fermée » (aucune incision, juste un point d'entrée à l'aiguille) ;
- Aucun risque de nécrose secondaire puisque les zones à traiter sont limitées, le volume par zone ne doit pas dépasser 150 cc.
- En fonction du résultat des 3 premières phases sur le processus d'amincissement, le médecin peut décider d'avoir recours à la phase optionnelle. Elle n'est pas toujours néessaire.
- Il s'agit d'un désengorgement cutané par drainage lymphatique.